Science-fiction
Le cinéma de science-fiction est aussi vieux que le cinéma lui-même.
Il est né des expérimentations de George Méliès, le premier à se servir du cinéma non pour documenter aussi fidèlement et platement que possible le réel mais pour raconter des histoires fantastiques.
La science-fiction c'est le cinéma des possibles. Le cinéma de ce qu'on espère, parfois, et de ce que l'on craint, souvent.
La science-fiction est un univers riche qui va du space opera le plus épique et débridé (la saga Star Wars, Les Gardiens de la galaxie, Les Chroniques de Riddick...) au film d'anticipation scientifique comme le très beau Ex-Machina qui pourrait se passer demain ou après-demain, s'il n'a pas déjà lieu au en ce moment même.
La science-fiction au cinéma, et nous mettons de côté les space operas qui ont leurs propres codes esthétiques, est traité de deux façons très différentes et radicalement opposées. Il y a d'abord les films cradingues et sombres qui empruntent leur esthétique au film noire, Blade Runner de Ridley Scott en est le parangon, et de l'autre les films comme Bienvenue à Gattaca avec ses décors bien éclairés, son environnement technologique (mitigé par une esthétique année 50 du plus belle effet) ainsi que son aspect lisse et propre.
Pourtant ces contradictions ne font que mettre chacune à leur façon en évidence ce que les sociétés, les univers, dépeint par ces films ont de dystopique. Bienvenue à Gattaca raconte l'histoire d'une société eugéniste.
Il est né des expérimentations de George Méliès, le premier à se servir du cinéma non pour documenter aussi fidèlement et platement que possible le réel mais pour raconter des histoires fantastiques.
La science-fiction c'est le cinéma des possibles. Le cinéma de ce qu'on espère, parfois, et de ce que l'on craint, souvent.
La science-fiction est un univers riche qui va du space opera le plus épique et débridé (la saga Star Wars, Les Gardiens de la galaxie, Les Chroniques de Riddick...) au film d'anticipation scientifique comme le très beau Ex-Machina qui pourrait se passer demain ou après-demain, s'il n'a pas déjà lieu au en ce moment même.
La science-fiction au cinéma, et nous mettons de côté les space operas qui ont leurs propres codes esthétiques, est traité de deux façons très différentes et radicalement opposées. Il y a d'abord les films cradingues et sombres qui empruntent leur esthétique au film noire, Blade Runner de Ridley Scott en est le parangon, et de l'autre les films comme Bienvenue à Gattaca avec ses décors bien éclairés, son environnement technologique (mitigé par une esthétique année 50 du plus belle effet) ainsi que son aspect lisse et propre.
Pourtant ces contradictions ne font que mettre chacune à leur façon en évidence ce que les sociétés, les univers, dépeint par ces films ont de dystopique. Bienvenue à Gattaca raconte l'histoire d'une société eugéniste.
Bienvenue à Gattaca
Blade Runner (à venir)
Bounty Killer
Cherry 2000
Dark City
Doomsday
Ex_Machina (à venir)
Les Chroniques de Riddick (à venir)
Les Gardiens de la galaxie (à venir)
Starship Troopers (à venir)
Strange Days
Total Recall (à venir)
Blade Runner (à venir)
Bounty Killer
Cherry 2000
Dark City
Doomsday
Ex_Machina (à venir)
Les Chroniques de Riddick (à venir)
Les Gardiens de la galaxie (à venir)
Starship Troopers (à venir)
Strange Days
Total Recall (à venir)